Collections d'archéologie
La Direction du Patrimoine culturel publie de nombreux ouvrages d'archéologie, principalement les collections "Archéologie à Bruxelles" et "Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles" mais aussi des brochures d'information.
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Titre | Collection | N°/Année | Auteur(s) | Sous-titre | Corps du texte | Année | N° dépôt légal | N° isbn | Nombre de pages | Prix conseillé | Lien pdf | Lien e-book | |
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Venus d'ailleurs | Une vitrine pour l'archéologie | 2018 | Si, de tout temps, l’homme a d’abord utilisé les ressources locales ou régionales pour se nourrir, construire son habitat ou façonner divers objets, on assiste dès la Préhistoire à des échanges et des déplacements toujours plus lointains afin de satisfaire divers besoins (denrées alimentaires, matières premières…). À partir du XVe siècle, les Grandes Découvertes et l’exploration de la Terre n’ont fait qu’accélérer et mondialiser ce processus. Une série de découvertes archéologiques réalisées sur le territoire bruxellois permettent de répertorier les différentes régions du globe qui, d’une manière ou d’une autre, ont influencé les habitudes de consommation, les procédés de fabrication ou de construction. Une histoire de départs et de retours, de liens commerciaux, d’échanges et d’emprunts. Des apports presque incessants de nouveaux éléments matériels qui ont contribué à faire évoluer notre vie quotidienne. Cette grande diversité du mobilier archéologique montre que Bruxelles a toujours été un carrefour, une ville et une région où se mêlent étroitement production locale ou régionale et apports… venus d’ailleurs. |
2018 | 2 | Gratuit | 1 | ||||||
Sous le parc Fontainas | Une vitrine pour l'archéologie | 2019 | En amont d’un réaménagement paysager et d’une série de constructions planifiés par la Ville de Bruxelles dans le parc Fontainas, Urban.brusssels a programmé des fouilles archéologiques préventives centrées sur une partie de cet espace vert situé à deux pas de la place Fontainas, entre les rues des Six Jetons, d’Anderlecht, des Navets et Van Artevelde. Confiées à l’asbl Recherches et Prospections archéologiques, ces fouilles ont été menées entre janvier 2016 et juillet 2017. Elles complètent une première phase de recherches archéologiques réalisées dans le même parc en 2011, à hauteur de l’impasse de la Barbe. L’histoire du quartier a ainsi pu être révélée depuis le Moyen Âge jusqu’à nos jours. On observe une évolution progressive du parcellaire d’abord dédié à des activités de type agricole, avant de connaître une urbanisation toujours plus dense au fil des siècles et finalement la démolition du bâti et la création d’un parc public. Un important mobilier archéologique a également été mis au jour (XIIIe-XXe s.). |
2019 | 2 | Gratuit | 1 | ||||||
Archeologische opgraving Zinnikstraat 32 in Brussel | Archéologie à Bruxelles | 13-1 | Heyvaert Bert Kellner Tina | Publication digitale du rapport scientifique de fouille, dans la langue de l'auteur. |
2016 | D/2016/6860/018 | 59 | 1 | |||||
La ferme de Scheut | Archéologie à Bruxelles | 14 | Moulaert Véronique Loicq Sophie | Rue des Tournesols 15 à Anderlecht | Publication digitale du rapport scientifique de fouille, dans la langue de l'auteur.La documentation de la ferme de Scheut a permis de retrouver en plan et parfois en élévation, une partie de l’état qu’elle présentait en 1760. La grange y apparaît de type en long, le portail situé à l’extrémité est du mur pignon. L’emplacement et les proportions correspondent parfaitement au bâtiment III, interprété comme étant une grange. Le bâtiment II y est également visible. Aucune baie, hormis deux petites prises d’air, n’est dessinée au niveau de la façade septentrionale. Ce qui correspond aux observations effectuées sur le terrain, à savoir, l’absence de percement d’origine visibles, dans ce mur. Le bâtiment II y apparaît moins élevé que la grange et que le corps de logis. Le dessin corrobore la théorie selon laquelle ce bâtiment serait à l’origine un bâtiment agricole de type étable. La confrontation du dessin et des données archéologiques montre que ces deux sources coïncident. Dès lors, si on considère ce dessin comme relativement exact, il devrait donc y avoir des baies dans le mur oriental de la grange, donnant sur la cour de la ferme, et deux anciens portails sous le cimentage des façades des maisons 15E et 15G. En ce qui concerne le corps de logis, plus rien ne subsiste de cet état, hormis peut-être le mur reliant la maison 15A et 15H et d’éventuelles caves, si celles-ci ont été réutilisées par le château néoclassique. Le mur occidental du corps de logis a pu être en partie conservé comme mur pignon oriental de la maison 15H. La dernière aile de la ferme, l’aile septentrionale, a totalement disparu en élévation. Sur le dessin de 1760. Il semble qu’il s’agisse d’un volume continu qui donne à la ferme un aspect de plan en ordre serré (carré). Peu après 1796, la ferme est vendue comme bien national. C’est peut-être après ce changement de propriétaire, et avant les grands travaux de 1868, que les premières réaffectations des bâtiments vont avoir lieu. Sur le document cadastral de 1868, on remarque qu’antérieurement à la demande de changement, le bâtiment III a déjà reçu deux numéros de police différents (20d et 20c) et a, semble-t-il, été divisé en deux. Deux habitations ont donc été aménagées dans le volume de la grange, avant l’ouverture des courettes à l’arrière. En 1868, on modifie la grange en créant trois volumes à l’intérieur de son emprise formant un « U » autour d’une cour. Ce plan en
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2018 | D/2018/6860/21 | 46 | 1 | ||||
Étude géoarchéologique du site de la rue des pierres n°18-20 et rue Henri Maus n°33 à 47 à Bruxelles | Archéologie à Bruxelles | 9-6 | Devos Yannick Nicosia Cristiano | 2017 | D/2017/6860/018 | 32 | gratuit | 1 | |||||
Zaden- en vruchtenonderzoekvan de zwarte lagen op de site Steenstraat / H. Mausstraat in Brussel | Archéologie à Bruxelles | 9-5 | Speleers Lien | Publication digitale du rapport scientifique de fouille, dans la langue de l'auteur. |
2016 | D/2016/6860/027 | 34 | 1 | |||||
Fouille préventive autour de l'église Saint-Denis à Forest | Archéologie à Bruxelles | 12-1 | De Staercke Olivia Pècheur Fabien | Publication digitale du rapport scientifique de fouille, dans la langue de l'auteur. |
2016 | D/2016/6860/017 | 24 | 1 | |||||
Artisanat médiéval et habitat urbain | Archéologie à Bruxelles | 3 | Diekmann Anya | Rue d'Une Personne et place de la Vieille-Halle-aux-Blés | En co-édition avec l’Institut de Gestion de l’Environnement et |
1997 | 158 | 10,00 | |||||
Au quartier des Riches-Claires : de la Priemspoort au Couvent | Archéologie à Bruxelles | 1 | De Poorter Alexandra | En co-édition avec les Musées royaux d’Art et d’Histoire et la Fabrique d’église de Notre-Dame des Riches-Claires. |
1995 | 216 | 10,00 | ||||||
Autour de la première enceinte | Archéologie à Bruxelles | 4 | Collectif |
En co-édition avec les Musées royaux d’Art et d’Histoire. |
2001 | 360 | 20,00 | ||||||
Brasseries du quartier Sainte-Catherine | Archéologie à Bruxelles | 2 | Degré Sylvie | En co-édition avec les Musées royaux d’Art et d’Histoire |
1995 | 214 | 10,00 | ||||||
Fouille préventive sur le site du Neckersgat à Uccle | Archéologie à Bruxelles | 5 | Byl Sylvie Devillers Céline Paridaens Nicolas | Préalablement à la construction d’une nouvelle salle de gymnastique pour le « Koninklijk Atheneum Ukkel Nekkersgat », le Ministère de la Région de Bruxelles-Capitale (MRBC) a décidé d’effectuer une fouille préventive sur le site du Neckersgat à Uccle. Le site prend place au sud du territoire de la commune, à 250 m environ à l’ouest de la gare de chemin de fer d’Uccle-Calevoet (ligne Bruxelles- Charleroi). Il correspond à un plateau sableux dont le sommet culmine à 60 m d’altitude, bordé au sud-ouest par les eaux du Geleytsbeek, un sous-affluent de la rive droite de la Senne. Ce site est connu depuis la première moitié du xxe siècle, par des fouilles ayant révélé des vestiges du Néolithique moyen, de l’âge du Fer et de l’Époque romaine. |
2013 | D/2013/6860/016 | 28 | 1 | |||||
Archeologische interventie in de Trapstraat in Brussel | Archéologie à Bruxelles | 6 | Claes Britt | Publication digitale du rapport scientifique de fouille, dans la langue de l'auteur. |
2014 | D/2014/6860/010 | 25 | 1 | |||||
Archeologische evaluatie van de Gésusite Sint-Joost-ten-Node | Archéologie à Bruxelles | 7 | Claes Britt | Publication digitale du rapport scientifique de fouille, dans la langue de l'auteur. |
2010 | D/2014/6860/026 | 27 | 1 | |||||
Fouille préventive Quai aux Barques n°5 à Bruxelles | Archéologie à Bruxelles | 8 | Moulaert Véronique De Staercke Olivia | Un projet de construction d’un immeuble sur le terrain sis quai aux Barques no 5, à 1000 Bruxelles, prévoit un décaissement du sous-sol en vue de l’installation de caves et d’un parking souterrain. Or, la parcelle concernée, d’une superficie d’un peu plus de 300 m2, se situe entre la première et la seconde enceinte. Depuis la destruction, au début du xxe siècle, d’une bâtisse du xviie siècle, ce terrain n’a plus fait l’objet de nouvelles constructions. |
2011 | D/2015/6860/003 | 59 | 1 | |||||
Fouille préventive rue des Pierres n°18 à 36 et rue Henri Maus n°33 à 47 à Bruxelles | Archéologie à Bruxelles | 9-1 | Pion Constantin | Publication digitale du rapport scientifique de fouille Le projet urbanistique « La Traviata » concernant l’aménagement d’un complexe hôtelier implique plusieurs bâtiments situés dans le centre historique de la ville de Bruxelles, à l’intérieur du tracé de la première enceinte. Ces bâtiments font partie d’un îlot de constructions compris entre les rues des Pierres, Henri Maus, du Midi et le boulevard Anspach. Plus précisément, il s’agit des maisons sises rue des Pierres nos18-20, no 30, nos 34 à 36 et rue Henri Maus nos 33 à 47. |
2010 | D/2015/6860/009 | 43 | 1 | |||||
Étude du bâti des maisons rue des Pierres n° 18-20, 32, 34 et 36 à Bruxelles | Archéologie à Bruxelles | 9-2 | Gautier Patrice | Dans le cadre de la mise en oeuvre du permis d’urbanisme 04/PFU/227027 obtenu par S.A. Triple J Estate Development afin de « rénover, restaurer et reconstruire partiellement un ensemble d’immeubles en vue d’y abriter un hôtel de 50 chambres, 16 logements et des commerces » sis rue Henri Maus nos 33-47 et rue des Pierres nos 18-20,30, 34-38, la Direction des Monuments et des Sites (DMS) a programmé -via un marché public (BR223-01)- une intervention d’archéologie préventive. Il s’agissait d’étudier les bâtiments qui allaient disparaître et de fouiller les zones en sous-sol qui allaient être perturbées par les travaux (approfondissement de certaines caves, cages d’ascenseur…). Cette intervention qui a été confiée aux Musées royaux d’Art et d’Histoire en collaboration avec l’asbl Recherches et Prospections archéologiques en Wallonie, a eu lieu du 1er mai au 2 juillet 2010. |
2012 | D/2015/6860/010 | 35 | 1 | |||||
Rapport d’analyse dendrochronologique rue des Pierres n°32 et 36 à Bruxelles | Archéologie à Bruxelles | 9-3 | Hoffsummer Patrick Maggi Christophe Weitz Armelle | L’analyse concerne la maison située rue des Pierres, no 32 à Bruxelles. L’analyse est effectuée à la demande de la Direction des Monuments et des Sites du Service public régional de Bruxelles dans le cadre de la convention MRBC/DMS - ULg ARC/P4/2006-02. |
2011 | D/2015/6860/011 | 17 | 1 | |||||
Rapport d’identification d’essence de bois rue des Pierres n°36 à Bruxelles | Archéologie à Bruxelles | 9-4 | Weitz Armelle Gerrienne Philippe | Les observations microscopiques ont permis d’identifier pour l'échantillon observé un bois du genre Pinus sp.,à savoir Pinus silvestris L. ou Pinus mugo Turra, non différenciables anatomiquement. Le gabarit des bois mis en oeuvre nous incite à privilégier la proposition du pin sylvestre au détriment du pin des montagnes, arbre de haute altitude et de petite taille.
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2013 | D/2015/6860/012 | 7 | 1 | |||||
Évaluation archéologique du site néolithique (Boitsfort-Étangs) avenue des Deux Montagnes à Watermael-Boitsfort | Archéologie à Bruxelles | 10-1 | Modrie Sylvianne | Dans le cadre du permis d’urbanisme délivré à Infrabel pour la mise à 4 voies de la ligne ferroviaire L161 Namur-Schaerbeek (17/PFU/178670), des fouilles archéologiques préalables aux travaux ont été planifiées par la Région de Bruxelles-Capitale sur le site d’habitat néolithique classé de Boitsfort-Étangs à Watermael-Boitsfort. Celui-ci se développe en forêt de Soignes, à l’ouest de la voie ferrée et à l’est de la voie, dans le Parc Tournay-Solvay, le Domaine du Silex et sur un terrain de l’International School of Brussels. |
2010 | D/2015/6860/013 | 11 | 1 | |||||
Fouille archéologique sur le site néolithique (Boitsfort-Étangs) avenue des deux montagnes à Watermael-Boitsfort | Archéologie à Bruxelles | 10-2 | Byl Sylvie Devos Yannick Martin Fanny Fourny Michel Paridaens Nicolas | Dans le cadre de la mise à 4 voies de la ligne ferroviaire L161 Namur-Schaerbeek (chantier RER), le Ministère de la Région de Bruxelles-Capitale (MRBC) a décidé d’effectuer des fouilles préventives sur le site d’habitat néolithique classé de Boitsfort-étangs à Watermael-Boitsfort. Le site fortifié, connu depuis le xixe siècle, appartient à la culture Michelsberg du Néolithique moyen (5050-2450 B.C. Cal.). |
2010 | D/2015/6860/014 | 41 | 1 | |||||
Étude archéopédologique sur le site néolithique (Boitsfort-Étangs) avenue des deux montagnes à Watermael-Boitsfort | Archéologie à Bruxelles | 10-3 | Devos Yannick Langohr Roger | Ce rapport discute les observations archéopédologiques de terrain réalisées sur le site de Boitsfort-Etangs lors des campagnes de fouilles de 2009 et 2010. Cette étude a comme objectif d’évaluer le potentiel paléoenvironnemental du site et de compléter la base de données concernant le paléoenvironnement bruxellois. Elle a également pour but de contribuer à une meilleure connaissance archéologique du lieu. |
2011 | D/2015/6860/015 | 17 | 1 | |||||
Archeologische en pedologische evaluatie van de neolithische site (Bosvoorde-Vijvers) Twee Bergenlaan in Watermaal-Bosvoorde | Archéologie à Bruxelles | 10-4 | Vanmontfort Bart Meirsman Els Langohr Roger | Publication digitale du rapport scientifique de fouille, dans la langue de l'auteur. |
2011 | D/2015/6860/016 | 108 | 1 | |||||
Intervention archéologique sur la ligne RER L50A à Anderlecht | Archéologie à Bruxelles | 11 | De Staercke Olivia | Le présent rapport vous présente les résultats du suivi archéologique réalisé à l’occasion du déplacement d’une canalisation de transport de gaz naturel DN 300. Ces travaux se déroulent sur le tronçon Bruxelles-Midi/Denderleeuw, dans le cadre de l’élargissement de la ligne RER L50A Bruxelles-Gand. |
2012 | D/2015/6860/017 | 22 | 1 | |||||
Bruxelles / Laeken | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 24 | Meganck Marc Guillaume Alain | Depuis 1921, l’ancienne commune de Laeken est rattachée au territoire de la Ville de Bruxelles. Les sites et les découvertes archéologiques cartographiés dans cet Atlas représentent la plupart des périodes depuis la Préhistoire jusqu’au XVIIIe siècle. Si la plus ancienne découverte date du Paléolithique, on note aussi quelques trouvailles datant du Néolithique. Laeken se distingue également par un nombre élevé de sites de l’époque romaine, comme les villas du Hoogleest et du Stuyvenberg. Le noyau villageois médiéval avait pour centre l’ancienne église Notre-Dame dont il ne subsiste que le chœur. Pour l’Ancien Régime, on recense un panel de sites des plus larges : châteaux, moulins, fermes, brasseries et auberges. Outre le village, Laeken comptait plusieurs hameaux : Drootbeek, Osseghem (Heysel), Cauweghem, Ter-Plast, Hoogleest et Nederleest. Quant aux abords du canal de Willebroek, ils demeurèrent longtemps un lieu de promenade prisé par l’aristocratie et la bourgeoise bruxelloises avant de devenir un pôle économique de premier plan. Le territoire de Laeken est particulièrement vert, grâce à la présence d’un vaste parc public et du Domaine royal où sont d’ailleurs recensées plusieurs zones archéologiques. En plus de la localisation et de l’historique des différents sites, ce volume offre une série de synthèses de même que des recommandations pour la gestion future du patrimoine.
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2012 | 978-2-93045-775-8 | 143 | 10,00 | |||||
Bruxelles / Neder-Over-Heembeek | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 23 | Meganck Marc Guillaume Alain | Rattachée à la Ville de Bruxelles depuis 1921, l’ancienne commune de Neder-Over-Heembeek avait été créée en 1814 par la réunion de deux villages voisins. Neder-Heembeek était regroupé autour de l’église Saint-Pierre dont seule subsiste la tour romane. L’hospice pour vieillards (De Kluis) fondé en face du sanctuaire en 1487 constitue encore aujourd’hui un remarquable exemple d’architecture civile brabançonne. Le noyau villageois comptait également une demeure seigneuriale : le château de Meudon, dont les pavillons d’entrée ont été préservés. Vers le canal de Willebroek – mis en service en 1561 – se trouvaient plusieurs auberges (Versailles, Marly…) accueillant les promeneurs venant de Bruxelles. On recensait aussi quelques fermes à Neder-Heembeek, comme l’hof van Wolumont ou celle de Crayenhoven à Ransbeek où s’élevaient autrefois la chapelle Saint-Landry et le château de Moriensart. Over-Heembeek avait pour centre l’église Saint-Nicolas. Outre le presbytère, le château seigneurial dit Beyaerd, un moulin à eau et une maison de plaisance, le village comptait une importante exploitation agricole, la ferme Den Bels, le dernier complexe du genre conservé sur le territoire de la Ville de Bruxelles. En plus de la localisation et l’historique des différents sites, le présent volume offre une série de synthèses et de recommandations qui, à l’avenir, permettront une gestion appropriée des différentes zones archéologiques recensées. |
2011 | 978-2-93045-765-9 | 119 | 10,00 | |||||
Bruxelles / Haren | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 22 | Meganck Marc Guillaume Alain | L’ancienne commune de Haren est rattachée à Ville de Bruxelles depuis 1921. La plus ancienne découverte archéologique réalisée sur ce territoire est celle d’un harpon en bois de cerf datant du Mésolithique. La majeure partie des sites se rattache pourtant au Moyen Âge et aux Temps Modernes. Attesté dès le XIe siècle, le village s’est développé sur la colline dite Harenberg, non loin de la confluence de la Senne et de la Woluwe. Autour de l’église Sainte-Élisabeth se trouvaient le presbytère, une brasserie, des fermes et un hospice. Plusieurs demeures de plaisance ou châteaux étaient également établis dans le noyau villageois ou en lisière de celui-ci : Ter Elst, Flodrop, Cortenchach et la Campagne Renson. On note aussi la présence de quelques ouvrages hydrauliques sur le canal de Willebroeck et la Senne : l’aqueduc des Trois-Trous, le moulin Saint-Michel, les écluses De Ark et Den Ham. Aujourd’hui, malgré l’industrialisation et le développement du chemin de fer opérés aux XIXe et XXe siècles, Haren présente un très riche potentiel archéologique et architectural, à l’image de la ferme du Castrum et de son remarquable donjon-porche de la fin du XIIIe siècle. Outre la localisation et la présentation des différents sites, le présent volume offre une série de synthèses et de recommandations qui, à l’avenir, permettront une gestion appropriée des différentes zones archéologiques recensées. |
2010 | D/2010-6860-019 | 978-2-93045-759-8 | 96 | 10,00 | ||||
Auderghem | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 21 | Meganck Marc Guillaume Alain avec les contributions de Modrie Sylvianne Van Bellingen Stephan | Les cinquante sites répertoriés sur la carte archéologique de la commune d’Auderghem représentent les principales étapes de l’évolution humaine, de la Préhistoire jusqu’au XVIIIe siècle. Les implantations et les activités ont largement tiré profit de la présence de la forêt de Soignes qui couvre encore près d’un tiers du territoire aujourd’hui. Elles ont également bénéficié d’un réseau hydrographique propice à l’agriculture et à l’établissement de moulins : la vallée de la Woluwe. Si les plus anciennes découvertes archéologiques se rattachent au Paléolithique, le Néolithique est lui aussi bien représenté. Le premier noyau villageois médiéval s’est formé aux abords de la chapelle Sainte-Anne, sanctuaire dont la construction remonte au XIe ou XIIe siècle. Après la fondation du prieuré de dominicaines de Val Duchesse (1262), l’habitat s’est déplacé vers l’actuelle chaussée de Wavre. Un siècle plus tard, un second complexe monastique fut établi aux portes de la forêt de Soignes : le prieuré augustin de Rouge-Cloître. Pour l’Ancien Régime, on recense aussi un château à Trois-Fontaines, plusieurs exploitations agricoles et quelques demeures de plaisance. Ce vingt et unième volume de l’Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles propose également un inventaire détaillé des découvertes réalisées à Auderghem ainsi qu’une série de recommandations relatives à la gestion du potentiel archéologique de la commune. |
2010 | D/2010-6860-007 | 978-2-93045-748-2 | 200 | 10,00 | ||||
Ganshoren | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 20 | Meganck Marc Guillaume Alain | Le vingtième volume de l’Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles est consacré à la commune de Ganshoren. Il est le fruit d’une étroite collaboration entre la Direction des Monuments et des Sites et les Musées royaux d’Art et d’Histoire. Les sites archéologiques recensés se rattachent majoritairement au Moyen Âge et aux Temps Modernes. Mentionné dans les sources d’archives dès 1112, le village était regroupé autour d’une chapelle dédiée à Saint-Martin ; on y trouvait une ancienne ferme appelée Vlierhof ou encore une grange aux dîmes. Plusieurs exploitations agricoles étaient situées non loin du centre villageois : celle dite Pampoel, une série de petites fermes autour de la rue M. Demesmaeker et le Heideken, ferme-auberge localisable à hauteur du square du Centenaire. Le château de Rivieren, établi entre le noyau villageois et la vallée du Molenbeek, constitue l’un des sites les plus remarquables ; attesté dès le XIIe siècle, l’ensemble se développa autour d’un donjon du XIIIe siècle auquel ont été accolées plusieurs ailes (XVe-XIXe siècles). Outre un inventaire des sites et des découvertes archéologiques, le présent volume offre des synthèses (cadre naturel, histoire) de même qu’une série de recommandations mettant l’accent sur les différents types de zones archéologiques (préservées, protégées et détruites) et leur gestion future. |
2009 | D/2009-6860-015 | 978-2-93045-744-4 | 77 | 10,00 | ||||
Bruxelles / Quartier Louise | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 19 | Meganck Marc Guillaume Alain avec la contribution de Degraeve Ann | Fruit d’une étroite collaboration entre la Direction des Monuments et des Sites de la Région de Bruxelles-Capitale et les Musées royaux d’Art et d’Histoire, cet atlas est consacré au quartier Louise. Faisant partie de la Ville de Bruxelles, ce territoire est composé de l’avenue Louise et de ses abords immédiats, du bois de La Cambre ainsi que de l’avenue F. Roosevelt et d’une partie du Solbosch. L’atlas propose un inventaire exhaustif de la documentation archéologique connue pour cette partie de Bruxelles. La plupart des sites se rattachent au Moyen Âge et aux Temps Modernes. Il s’agit des fortifications avancées de la seconde enceinte urbaine, du site de l’Ermitage (De Cluyse), ayant accueilli successivement un ermitage et une maison de plaisance, du hameau appelé Den Verkeerden Haan et de l’abbaye de La Cambre, l’un des ensembles monastiques les mieux préservés de la région bruxelloise. Enfin, le présent volume offre des synthèses (cadre naturel, histoire et archéologie) de même qu’une série de recommandations qui, à l’avenir, permettront une gestion appropriée des zones archéologiques recensées. |
2009 | D/2009-6860-010 | 978-2-93045-739-0 | 126 | 10,00 | ||||
Evere | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 18 | Guillaume Alain Meganck Marc | L’atlas du sous-sol archéologique de la commune d’Evere est le fruit d’une étroite collaboration entre la Direction des Monuments et des Sites de la Région de Bruxelles-Capitale et les Musées royaux d’Art et d’Histoire. La majeure partie des sites répertoriés se rattachent aux époques médiévale et post-médiévale. Attesté dans les sources d’archives dès le XIIe siècle, le village d’Evere s’est développé sur la rive droite de la Senne. Le centre ancien, ou Bas-Evere, se situait autour de l’église Saint-Vincent. Dans cette zone ont pu être localisés des sites comme l’ancien château des seigneurs d’Evere, le presbytère, une grange aux dîmes, une auberge, plusieurs fermes ainsi qu’une maison de plaisance. La limite de la zone habitée demeura longuement marquée par la chaussée de Haecht en bordure de laquelle se trouvaient une léproserie et une chapelle dédiée à saint Vincent. Le Haut-Evere, au sud de la chaussée de Haecht, resta quant à lui essentiellement fait de prés et de champs jusqu’à la fin du XIXe siècle ; on y compte néanmoins quelques sites médiévaux aux abords de l’ancien tracé de la chaussée de Louvain dont une ancienne maison de chasse. Outre la localisation et la présentation des sites archéologiques, le présent volume offre également une série de synthèses (cadre naturel, archéologie et histoire) et de recommandations qui, à l’avenir, permettront une gestion appropriée des différentes zones archéologiques recensées.
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2008 | D/2008-6860-007 | 978-2-93045-721-5 | 94 | 10,00 | ||||
Molenbeek-Saint-Jean | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 17 | Guillaume Alain Meganck Marc avec la contribution de Charruadas Paulo | Consacré à la commune de Molenbeek-Saint-Jean, cet atlas a été réalisé dans le cadre d'une étroite collaboration entre la Direction des Monuments et des Sites de la Région de Bruxelles-Capitale et les Musées royaux d'Art et d'Histoire. Il propose un inventaire des sites archéologiques de même qu'une étude du mobilier découvert sur le territoire molenbeekois. Si l'on dénombre quelques sites se rattachant à la Préhistoire (Néolithique ), la découverte majeure faite à ce jour est celle d'un puits et de deux sépultures de l'Époque romaine au Laekenveld. Néanmoins, la plus grande partie des sites archéologiques répertoriés concerne le Moyen Âge et les Temps Modernes. Ces derniers se répartissent en plusieurs zones, autour de la chaussée de Gand, aux abords de l'église Saint-Jean Baptiste, à proximité du château-ferme du Karreveld ou encore dans les hameaux de Beekkant et de Moortebeek. Enfin, le présent volume offre une série de synthèses (cadre naturel, archéologie et histoire) mais aussi des recommandations qui, à l'avenir, permettront une gestion appropriée des différentes zones archéologiques recensées. |
2007 | D/2007-6860-005 | 978-2-93045-711-6 | 140 | 10,00 | ||||
Schaerbeek | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 16 | Guillaume Alain Meganck Marc avec la contribution de Dumortier Claire | L’atlas du sous-sol archéologique de la commune de Schaerbeek a été réalisé dans le cadre d’une étroite collaboration entre la Direction des Monuments et des Sites de la Région de BruxellesCapitale et les Musées royaux d’Art et d’Histoire. Il propose un inventaire et une étude du matériel découvert mais aussi une liste des sites archéologiques. Les premiers témoins de l’activité humaine à Schaerbeek remontent au Mésolithique et au Néolithique. On dénombre également plusieurs sites remontant au Premier Âge du Fer et surtout à l’Époque romaine à laquelle se rattachent deux riches tombeaux découverts à hauteur de la chaussée de Haecht. Pour les époques médiévale et post-médiévale, on recense principalement quatre noyaux d’habitats établis autour de l’ancienne église Saint-Servais, près du Voorde, dans le hameau de Helmet et à Linthout. Les données archéologiques et historiques sont complétées par une étude du cadre naturel dans lequel s’inscrivent les activités humaines. L'ensemble étant cartographié , cet ouvrage constitue aussi un outil de gestion destiné à obtenir des interventions archéologiques dans le cadre de projets urbanistiques. |
2006 | D/2006-6860-007 | 978-2-93045-700-0 | 142 | 10,00 | ||||
Ixelles | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 15 | Guillaume Alain Meganck Marc avec les contributions de Degraeve Ann Sosnowska Philippe | Consacré au sous-sol archéologique de la commune d’Ixelles, cet atlas est le fruit d’une collaboration entre la Direction des Monuments et des Sites de la Région de Bruxelles-Capitale et les Musées royaux d’Art et d’Histoire. Il propose un inventaire et une étude du matériel découvert mais aussi une liste des sites archéologiques. Toutes les grandes étapes de l’évolution humaine sont représentées. Le territoire étudié a livré quelques restes paléontologiques vieux de plus de 100 000 ans, des vestiges néolithiques, romains et mérovingiens. Un grand nombre de sites se rattache aux époques médiévale et post-médiévale : du Haut-Ixelles au hameau de Boondael, en passant par le centre ancien près des étangs d’Ixelles, l’ancienne abbaye cistercienne de La Cambre ou encore Ten Bosch. Outre les données archéologiques et historiques, l’accent est également mis sur l’importance du cadre naturel et ses interactions avec les activités humaines. L’ensemble des données récoltées étant cartographié, cet ouvrage se veut aussi un outil de gestion destiné à obtenir des interventions archéologiques dans le cadre de projets urbanistiques. |
2005 | D/2005-6860-005 | 978-2-96005-024-0 | 136 | 10,00 | ||||
Woluwe-Saint-Pierre | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 14 | Guillaume Alain Meganck Marc | Fruit d’une collaboration entre la Direction des Monuments et des Sites de la Région de Bruxelles-Capitale et les Musées royaux d’Art et d’Histoire, cet atlas est consacré au sous-sol archéologique de la commune de Woluwe-Saint-Pierre. Il propose un inventaire et une étude du matériel découvert mais aussi une liste des sites archéologiques. Le biface paléolithique du square Montgomery, les nombreuses pièces trouvées à Stockel (essentiellement du Néolithique à l’époque romaine) et les levées de terre du parc de Woluwe témoignent de l’ancienneté de l’occupation du territoire. Pour les époques médiévale et post-médiévale, on recense notamment trois importantes fermes dans les hameaux du Bemel, de Stockel et du Bovenberg. Outre les données archéologiques et historiques, l’accent est également mis sur l’importance du cadre naturel et ses interactions avec les activités humaines. L’ensemble des informations récoltées étant cartographié, cet ouvrage se veut aussi un outil de gestion destiné à obtenir des possibilités d’interventions archéologiques dans le cadre de projets urbanistiques. |
2004 | D/2004-6860-011 | 119 | 10,00 | |||||
Saint-Gilles | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 13 | Guillaume Alain Meganck Marc | Cet atlas consacré au sous-sol archéologique de la commune de Saint-Gilles est le fruit d’une collaboration entre la Direction des Monuments et des Sites de la Région de Bruxelles-Capitale et les Musées royaux d’Art et d’Histoire. Il propose un inventaire et une étude du matériel découvert mais aussi une liste des sites archéologiques. Parmi ceux-ci, on recense essentiellement des sites médiévaux et post-médiévaux tels le château-ferme de Bethléem, le fort de Monterey, les moulins à vents de La Barrière ou la Machine hydraulique du Terrain des Sources. Outre les données archéologiques et historiques, l’accent est également mis sur l’importance du cadre naturel et ses interactions avec les activités humaines. L’ensemble des informations récoltées étant cartographié, cet ouvrage se veut aussi un outil de gestion destiné à obtenir des possibilités d’interventions archéologiques dans le cadre de projets urbanistiques. |
2004 | D/2004-6860-007 | 96 | 10,00 | |||||
Bruxelles / Quartier Nord-Est | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 12 | Cabuy Yves Demeter Stéphane | Cette extension de Bruxelles a été formée aux XIXe et XXe siècles par le démembrement d’Etterbeek, Ixelles, Saint-Josse-ten-Noode et Schaerbeek. Elle comprend le quartier Léopold, celui des squares et le parc du Cinquantenaire. Les découvertes les plus anciennes réalisées sur ce territoire sont des artefacts en silex du Néolithique. Pour le Moyen Âge et les Temps Modernes, la carte archéologique ne recense pas de centre de peuplement ancien. Il n’y a ni village ni église, mais bien différents établissements éparpillés : la seigneurie d’Eggevoorde, des moulins sur le Maelbeek, le quartier des remparts près de la ville, de même que des résidences suburbaines de patriciens bruxellois. |
1997 | D/1997-6860-5 | 56 | 10,00 | |||||
Koekelberg | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 11 | Cabuy Yves Demeter Stéphane | À ce jour, aucune découverte archéologique n’a encore été réalisée sur le territoire de Koekelberg. La carte des sites se compose exclusivement de la seigneurie de Koekelberg et de ses principales composantes : château, ferme, chapelle et brasserie. L’histoire de cet ensemble d’origine médiévale ne se comprend qu’à l’échelon régional. Tout porte à croire qu’il est né d’un démembrement du domaine primitif de Molenbeek dans lequel la seigneurie de Koekelberg était encore complètement enclavée au xviiie siècle. Les différentes constructions du centre ancien ont toutes disparues lors de l’urbanisation de la commune à la fin du xixe et au début du xxe siècle. |
1995 | D/1995-0550-12 | 45 | 10,00 | |||||
Bruxelles / Pentagone - Découvertes archéologiques | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 10.2 | Cabuy Yves Demeter Stéphane avec la collaboration de de Poorter Alexandra avec les contributions de Dumortier Claire Fontaine Chantal | La forme de Pentagone qu’adopte le centre-ville découle en grande partie du tracé de la deuxième enceinte urbaine du xive siècle. Démantelés à partir de la fin du xviiie siècle, les remparts ont laissé la place à une série de boulevards… l’actuelle Petite Ceinture. Le vaste site compris dans le périmètre de l’enceinte a été façonné durant des siècles. C’est un champ d’investigation infini. Car chaque parcelle, chaque rue, tout ensemble bâti, tout espace vert recèle un fort potentiel archéologique qui révèle des occupations successives. Les témoins matériels mis au jour – ceux d’hier et de demain – contribuent à une meilleure connaissance de l’histoire de Bruxelles… |
1997 | D/1997-6860-1 | 264 | 10,00 | |||||
Bruxelles / Pentagone. Potentiel archéologique | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 10.1 | Cabuy Yves Demeter Stéphane | 1995 | D/1995-0550-5 | 58 | 10,00 | ||||||
Watermael-Boitsfort | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 9 | Cabuy Yves Demeter Stéphane avec la collaboration de Leuxe Françoise avec la contribution de Langhor Roger | Plus de la moitié du territoire de la commune de Watermael-Boitsfort est encore occupée par la forêt de Soignes. C’est dans ce massif forestier que naît la Woluwe au niveau de l’étang du Moulin. La rivière et ses affluents, mais aussi le relief, ont joué un rôle déterminant pour les implantations humaines. Les collines les plus élevées ont été prisées au Néolithique pour la création de zones d’habitat et de fortification. Les établissements médiévaux et postmédiévaux ont eux aussi habilement tiré parti de la rivière et de la forêt en créant fermes, moulins et autres ensembles bâtis. |
1994 | D/1994-0550-27 | 99 | 10,00 | |||||
Anderlecht | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 8 | Cabuy Yves Demeter Stéphane avec la contribution de de Waha Michel | Le territoire d’Anderlecht est traversé par la Senne et quelques-uns de ses affluents – dont le Broeck, la Pede et la Vleze – qui ont été déterminants pour les implantations humaines. Certaines zones semi-rurales, comme Neerpede, marquent une transition entre l’agglomération bruxelloise fortement urbanisée et les terres agricoles du nord-ouest du Brabant flamand. Les périodes les plus anciennes sont essentiellement représentées au Champ Saint-Anne (villa romaine et nécropole mérovingienne). Le noyau villageois médiéval s’est développé parallèlement à de nombreux hameaux : Aa, Veeweide, Paepsem, Broeck, Curegem… |
1994 | D/1994-0550-23 | 192 | 10,00 | |||||
Etterbeek | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 7 | Cabuy Yves Demeter Stéphane avec la collaboration de Leuxe Françoise | Le territoire d’Etterbeek a été mis en valeur dès le Moyen Âge, notamment par des institutions religieuses telles que l’abbaye de la Cambre et l’hôpital Sainte-Gertrude. Les versants de la vallée du Broebelaer furent consacrés à la culture céréalière. Très encaissée, la vallée du Maelbeek ne permettait pas une exploitation des prés naturels étant donné l’étroitesse de la plaine alluviale. Elle connut essentiellement l’aménagement d’une chaîne d’étangs destinés à la pêche et à l’actionnement de plusieurs moulins. Les abords du Zavelberg comptaient quant à eux quelques carrières de sable et de pierre. La plus ancienne découverte réalisée à Etterbeek est celle d’un fragment d’outil du Paléolithique avenue Malou. Le Néolithique est connu par deux ensembles d’outillage mis au jour avenue d’Auderghem et rue Baron-Lambert, de même que par une lame en silex trouvée rue Gérard. Les dix sites médiévaux et postmédiévaux se répartissent en deux ensembles, le centre ancien du village autour de l’église Sainte-Gertrude, ainsi que le fond de vallée du Maelbeek et le gué d’Eggevoorde. D’autres lieux complètent la carte archéologique : la propriété Hap, le hameau d’Oud Geleeg et l’emplacement de l’ancienne chapelle Notre-Dame à la Chasse. |
1994 | D/1994-0550-15 | 59 | 10,00 | |||||
Saint-Josse-ten-Noode | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 6 | Cabuy Yves Demeter Stéphane avec la collaboration de Leuxe Françoise | Le plus ancien témoignage matériel découvert sur le territoire de Saint-Josse-ten-Noode est une pointe de flèche du Néolithique. Les origines du village médiéval s’inscrivent dans le cadre du peuplement et de la mise en valeur de la vallée du Maelbeek. La première mention de la localité au XIIIe siècle concerne d’ailleurs l’exploitation de marais et d’étangs. Initialement, les habitants de Ten Noode relèvent de la paroisse de Saint-Gudule. Mais la construction de la deuxième enceinte de Bruxelles au XIVe siècle crée une telle coupure géographique, qu’une chapelle dédiée à Saint-Josse est érigée dans le hameau – elle donnera son nom à la commune. |
1994 | D/1994-0550-13 | 55 | 10,00 | |||||
Jette | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 5 | Blanquart Patricia Cabuy Yves Demeter Stéphane | Une grande partie de la commune de Jette est traversée par le Molenbeek. Cet affluent gauche de la Senne présente une vallée des plus larges qui a fortement influencé le développement de l’implantation humaine dès l’Époque romaine, puis au Moyen Âge. Elle a aussi déterminé l’évolution du tissu urbain moderne. Les traces matérielles les plus anciennes sont des artefacts en silex du Néolithique. L’Époque romaine est bien connue par la présence d’une villa au Laarbeekbos, tandis que les époques médiévale et postmédiévale ont été indissociables de la destinée de l’abbaye des prémontrés de Dielegem. |
1994 | D/1994-0550-6 | 95 | 10,00 | |||||
Forest | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 4 | Cabuy Yves Demeter Stéphane Leuxe Françoise | Les plus anciens témoignages matériels découverts sur le territoire de Forest sont des haches polies, une lame et un grattoir du Néolithique. Lorsque le village médiéval est mentionné pour la première fois en 1105, il est déjà le siège d’une paroisse autonome. Dès le début du xiie siècle, il devra cohabiter avec une communauté de bénédictines dont le monastère prendra de plus en plus d’importance dans le paysage et la vie quotidienne. Le Geleytsbeek alimentait de nombreux moulins, dont celui de l’abbaye. La carte archéologique recense aussi quelques fermes, une brasserie, de même qu’un pilori au lieu-dit Galgenberg, près de l’Altitude Cent. |
1993 | D/1992-0550-11 | 67 | 10,00 | |||||
Uccle | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 3 | Cabuy Yves Demeter Stéphane Leuxe Françoise | La plupart des périodes sont représentées sur la carte archéologique d’Uccle. Les implantations humaines ont dû s’adapter à un environnement naturel contraignant, alternant vallées encaissées, collines et plateaux vers la forêt de Soignes. De nombreux artefacts en silex attestent une occupation depuis le Néolithique. L’Âge du Fer et l’Époque romaine ont également livré des témoignages matériels importants (sépulture, fortification, monnaies, céramique). La quarantaine de sites qui concernent le Moyen Âge et les Temps Modernes montre un paysage façonné par l’homme, fait de villages et de hameaux, de fermes, de moulins, de châteaux et de voies de communication. |
1993 | D/1992-0550-12 | 151 | 1 | |||||
Woluwe-Saint-Lambert | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 2 | Cabuy Yves Demeter Stéphane Leuxe Françoise | La vallée de la Woluwe a accueilli de multiples occupations humaines au moins depuis le Néolithique. Cette période est connue à Woluwe-Saint-Lambert par une série de découvertes réalisées aux abords du moulin de Lindekemale et au Kappeleveld. L’Époque romaine est moins bien documentée, même si une série de monnaies ont été trouvées sur le territoire de la commune. Quant au village médiéval, il apparaît dans les sources à partir du xiie siècle, lorsqu’il est fait mention de l’église Saint-Lambert. L’histoire de Woluwe-Saint-Lambert sous l’Ancien Régime est caractérisée des contacts soutenus avec les villages voisins, notamment Woluwe-Saint-Pierre. |
1992 | D/1992-0550-10 | 96 | 1 | |||||
Berchem-Sainte-Agathe | Atlas du sous-sol archéologique de la Région de Bruxelles | 1 | Cabuy Yves Demeter Stéphane Leuxe Françoise | La carte archéologique de Berchem-Sainte-Agathe montre que les sites sont principalement localisés dans l’ancien noyau villageois, de même qu’au Zavelenberg et près du lieu-dit ‘t Hof te Overbeke. Pour la Préhistoire, on recense quelques artefacts en silex : un nucleus à lamelles du Mésolithique – la plus ancienne découverte réalisée sur le territoire communal – un éclat de hache polie et une lame retouchée du Néolithique. Les autres sites archéologiques repris dans l’inventaire se rattachent au Moyen Âge et aux Temps Modernes : église, presbytère, cimetière, chapelles, fermes et maisons de plaisance. |
1992 | D/1992-0550-9 | 47 | 1 | |||||
Archeologische opgraving Uitbreiding Koninklijk Poppentheater Toone in Brussel | Archéologie à Bruxelles | 15-1 | Claes Britt | Publication digitale du rapport scientifique de fouille, dans la langue de l'auteur. |
2018 | D/2018/6860/025 | 47 | 1 | |||||
Etude de trois maisons Petite rue des Bouchers 29 et impasse du Schuddenveld 2 à Bruxelles | Archéologie à Bruxelles | 15-2 | Gautier Patrice | 2018 | D/2018/6860/026 | 45 | 1 | ||||||
Rapport d'analyse dendrochronologique Extension du Théâtre Royal de Toone à Bruxelles | Archéologie à Bruxelles | 15-3 | Maggi Christophe Gerrienne Philippe Hoffsummer Patrick | 2018 | D/2018/6860/027 | 9 | 1 |